Prix immobilier en France

Prix immobilier en France

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France : les dernières estimations réalisées en ligne

Estimation d’un appartement à Tourcoing (59200)

Prix de vente estimé 172 200 €

Prix m 2 estimé 2 609 €

Estimation d’un appartement à Noisy-le-Grand (93160)

Prix de vente estimé 287 500 €

Prix m 2 estimé 4 107 €

Estimation d’une maison à Le Pradet (83220)

Prix de vente estimé 324 700 €

Prix m 2 estimé 4 775 €

Estimation d’un appartement à Montévrain (77144)

Prix de vente estimé 251 800 €

Prix m 2 estimé 5 596 €

Estimation d’un appartement à Thionville (57100)

Prix de vente estimé 158 800 €

Prix m 2 estimé 2 062 €

Estimation d’une maison à Clermont-Ferrand (63000)

Prix de vente estimé 368 700 €

Prix m 2 estimé 2 107 €

Tour d’horizon du marché immobilier français en 2022

Christophe du PONTAVICE Directeur Général et cofondateur deffiCity

L’année 2021 signe un nouveau record sur le marché de l’immobilier : 1,2 millions de transactions réalisées ! Nous avons constaté un léger ralentissement dans les grandes villes en fin d’année qui n’est pas forcément structurel. Les prix ne peuvent pas augmenter en permanence partout. En 2022, l…

L’année 2021 signe un nouveau record sur le marché de l’immobilier : 1,2 millions de transactions réalisées ! Nous avons constaté un léger ralentissement dans les grandes villes en fin d’année qui n’est pas forcément structurel. Les prix ne peuvent pas augmenter en permanence partout. En 2022, le marché s’annonce encore très dynamique.

Quelles sont les perspectives pour le marché immobilier en ce début d’année 2022 ?

À première vue, les évolutions du marché immobilier apparues avec la crise sanitaire semblent stables avec :

  • une stabilisation des prix dans les métropoles, voire parfois une très légère baisse.
  • un dynamisme des prix jamais atteint dans les villes moyennes.
  • un engouement confirmé pour l’habitat individuel, avec une hausse des prix des maisons qui en découle.

Le tout porté par une économie française ultra dynamique avec des indicateurs en forme : de très bons chiffres du chômage, un CAC 40 qui frôle des sommets, . La pierre demeure le placement préféré des Français.

Quels changements sont à attendre ?

De récentes évolutions semblent se confirmer :

Adieu les grandes métropoles

Toutes les grandes métropoles : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, … voient les « cœurs » de ville délaissés pour les périphéries environnantes. Le confinement et les restrictions de la crise sanitaire ont décidé les citadins à revoir leur façon de vivre. Pour preuve, Paris intra-muros a perdu 6.000 écoliers en un an selon le rectorat de Paris. Et c’est beaucoup ! Peut-on parler d’exode urbain ? Seuls une stabilisation de la situation sanitaire et les prochains chiffres de l’INSEE nous permettront d’avoir une vue d’ensemble sur ce phénomène.

Le succès des « petites villes »

Le succès des « petites villes », des « villes moyennes », des « villes de banlieue » est une vraie tendance. Les zones périurbaines sont les grandes championnes de ce marché immobilier. Avoir les avantages de la ville sans les inconvénients, telle est la demande. Exit la campagne trop isolée, vive la commune connectée et dotée d’infrastructures correctes pour un quotidien facilité.

Le télétravail

Il permet de s’éloigner plus loin qu’avant, et pour peu qu’il y ait un TGV, à vous la grande distance. Néanmoins, le télétravail a aussi montré ses limites. Il est très rarement plébiscité à temps plein par les entreprises. Il faudra surveiller comment cette nouvelle façon de travailler va véritablement évoluer.

L’évolution et l’accès au crédit

A priori les taux de crédits vont rester bas en 2022. Cependant, les recommandations du HCSF (Haut Conseil de Stabilité Financière) deviennent des obligations. Tout dossier de crédit doit nécessairement entrer dans un cadre très précis : « Les candidats à l’emprunt ne consentent pas un taux d’effort moyen supérieur à 35 % (mensualité rapportée au revenu mensuel). La durée des crédits immobiliers ne devra pas être supérieure à 25 ou 27 ans selon le type de biens ».

Il est bon de noter que les banquiers avaient déjà anticipé ces obligations depuis 2020. Il convient de prêter aussi attention aux taux d’intérêt qui même s’ils sont encore très bas, montrent des légers signes de remontée.

Quels conseils donnez-vous aux vendeurs et aux acheteurs ?

Je recommande toujours aux vendeurs, et c’est un peu l’adage d’effiCity, d’afficher le juste prix pour leurs biens. Un bien se vendra vite et bien s’il est au bon prix ! Vendeurs ne soyez pas trop gourmands et restez réalistes ! Et pour les acheteurs, plus que jamais c’est votre dossier de financement qui fera la différence. Prenez le temps de bien le construire, c’est la clé de voûte de votre projet immobilier !

De manière générale, le marché immobilier se révèle solide. 2022 s’annonce une (très) bonne année pour l’immobilier !

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